« Le geek, c’est chic » telle est ma devise ! Mais de quoi parle mon blog ? Je vous explique tout !
Qu’entendons-nous par nouvelles technologies ?
L’expression « Nouvelles Technologies de l’information et de la communication » (NTIC) regroupe concrètement toutes les techniques de transmission de l’information, utilisées dans le cadre de l’informatique, de l’Internet et d’une manière plus générale, des télécommunications. Il s’agit également d’un secteur d’activité économique à part entière, support de nombreuses entreprises œuvrant au développement des contenus numériques.
Ainsi, on peut dire sans se tromper que les NTIC ont contribué à façonner non seulement les pratiques professionnelles, mais également nos habitudes de consommation personnelles ! C’est ainsi que beaucoup d’objets « numériques » n’existeraient pas à l’heure actuelle, dans le développement des NTIC : téléphones mobiles, télévision numérique, technologie DVD et Blu-Ray, etc..
Ce que je trouve personnellement intéressant dans le développement des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, c’est cette dimension « interactive », permettant ainsi de mettre en relation plusieurs personnes entre-elles, ou avec une entreprise. Cela implique désormais une attention plus vive de la part des producteurs de contenus et services, face la multiplicité des retours clients, mais je crois que l’on peut affirmer dans tous les cas qu’il s’agit là d’un net progrès. Ainsi, et malgré ce côté « intrusif » et chronophage, les NTIC nous permettent de mieux vivre notre vie au quotidien et d’avoir accès à des contenus plus riches et variés. Il ne tient qu’à nous, bien évidemment, de savoir faire le tri pour éviter de renoncer face au « bad buzz » ou à la désinformation.
L’évolution du web
Le monde de l’Internet commercial a bien changé depuis ses débuts, au milieu des années 1990 ! La première phase du web baptisé à l’époque web 1.0 comprenait de simples pages statiques, avec très peu voire pas du tout de contenus dynamiques comme nous pouvons en avoir aujourd’hui. Très souvent même, il s’agissait de communications papier transférées sous forme numérique dans des pages HTML. Bonjour la mise à jour ! C’est à partir de 2003 que le web 2.0 a commencé progressivement à prendre en compte l’utilisateur final et l’internaute. Ainsi, de la simple consultation de données nous sommes passés à un lieu d’expression en mode « rich média ». De nouvelles préoccupations sont ainsi apparues, comme la nécessité de partager des contenus en ligne avec d’autres utilisateurs, d’associer davantage le consommateur ou l’utilisateur, etc..
Mais qu’en est-il de l’avenir du web ? On parle déjà depuis quelques années du web 3.0, une tendance qui n’aurait rien à voir avec une quelconque surenchère technologique, mais qui désignerait plus volontiers une plus grande mobilité dans les usages. Désormais, chaque page composant un site web doit être gérée par une base de données relationnelle intelligente, ce qui fait du web 3.0 un modèle davantage « sémantique », permettant de mieux qualifier l’information à destination de l’utilisateur final. On parle déjà du web 4.0 !
Qu’est-ce que le web 2.0 ?
Comme nous avons pu le voir ci-dessus, le web 2.0 est une période bien spécifique de l’Internet commercial, qui a permis l’émergence de nouvelles technologies plus « dynamiques », ce que ne permettait pas l’environnement web précédent. Par « dynamique », il faut comprendre le développement de nouvelles technologies web permettant de rendre les pages plus vivantes, et leur donnant même parfois un petit côté artistique.
Mais très souvent, à cause de l’utilisation trop intensive de technologies à base de Flash, les pages devenaient illisibles ou étaient trop longues à charger. Il a donc fallu réfléchir à un moyen plus simple et plus rapide de mettre en forme les informations, ce qui a permis l’émergence de pratiques alternatives autour notamment du langage CSS – un langage de programmation voisin du HTML donc l’utilité était justement de s’occuper du « design » des pages. Le web 2.0 a également été le témoin de l’émergence des réseaux sociaux et des nouveaux logiciels gratuits permettant de réaliser rapidement et efficace un simple site web. Parmi les CMS disponibles sur le marché, on évoquera ainsi la présence de leaders tels que WordPress, Joomla ou encore Drupal et Spip.
Les jeux-vidéo, plus forts que le cinéma ?
On parle beaucoup depuis quelques années, du fait que l’industrie vidéo-ludique est en passe de supplanter le cinéma dans bien des domaines. La narration, les possibilités d’interactivité et, d’une manière générale, l’économie représentée par l’industrie fait que le cinéma a du souci à se faire dans les années à venir. Le secteur des jeux-vidéo est à présent un domaine qui génère énormément d’emplois.
De même, le « storytelling » à l’œuvre sur certaines œuvres vidéo-ludiques fait que la véritable création artistique semble avoir changé de camp. Le cinéma « traditionnel », s’il veut survivre, devra donc tenir compte de l’émergence de nouvelles pratiques en lien avec les NTIC. On pourra évoquer notamment le développement timide mais bien réel de la réalité virtuelle dans les salles.